Carte Google des 119 pays

Mes livres sont en téléchargement depuis mai 2006 mais je ne les suis avec Google Analytics que depuis le 28/11/06. Auparavant, j’avais une information similaire mais moins détaillée grâce à Oxito, l’hébergeur de mon site web qui a, depuis plusieurs mois, arrêté de donner les origines géographiques de mes visiteurs pour une raison que j’ignore totalement.

La carte des téléchargements qui figure sur mon site est coloriée « à la main » dans Paint Shop, au fur et à mesure de l’apparition de nouveaux pays.

Celle qui apparait ci-dessus est une copie d’écran de celle produite par Google Analytics lorsque je lui indique la période allant du 28/11/06 à aujourd’hui. On y retrouve les 119 pays atteints par mes romans.

6 Replies to “Carte Google des 119 pays”

  1. anti Post author

    L’est encore plus belle en vert sur fond bleu c’te carte de Voeux !

    Bon, ben reste plus beaucoup de pays dans l’ombre ! Hop ! hop ! hop !

    J’y crois pas quand même quand je regarde la carte et que je revois défiler ton histoire. Et pourtant elle tourne ! Euh… et pourtant, tout est vrai… C’est complètement dingue.

    La réalité dépasse bien des fictions.

    anti, made a wish et le bon !

  2. Anna Post author

    Ca ressemble à un rêve, c’est vrai… mais tout est vrai, c’est le rêve!

    Quand je pense que tout est parti d’un simple SMS (« Le bonheur est là où tu es »), devenu une courte nouvelle (« Trois voeux »), devenue un roman (« Là où tu es »), devenu une trilogie, puis une deuxième, puis une troisième… Et, très vite, notre rencontre…

    Ce mois-ci va détenir le nouveau record de téléchargements depuis le début de toute cette aventure. J’en parlerai demain lorsque j’aurai les chiffres définitifs (il me manque encore ceux d’aujourd’hui).

    Anna, le bonheur est là où nous sommes

  3. anti Post author

    Quand je pense que tout est parti d’un point, d’un simple point infini, comme seule toi sais si bien le décrire.

    « Dans une spirale de plus en plus vertigineuse, tout prit un sens. Le rêve bizarre qu’il avait fait la nuit précédente. L’article d’hier dans Libé sur les néo-situationnistes. Le dernier bouquin de Philippe Djian plein de contre-pieds surprenants. Le vieux film loupé de science-fiction de David Lynch qu’il avait voulu voir jusqu’au bout parce que quand même David Lynch c’est pas n’importe qui sauf que là il s’était vraiment planté grave. Le boulot de fou qu’il avait pris à Londres juste avant celui-ci. Son embauche dans la boîte de Sarah. Son parcours de musicien et son amour de tous les arts. La discussion qu’il avait eue avec Karma Tsung-Po Rimpotché vingt ans plus tôt au Centre Tibétain de Toulouse quand le vieux lama lui avait dit « De l’attachement vient la souffrance ». Les femmes qu’il avait aimées puis quittées, les moments de bonheur et les pleurs. Chacun des croisements de sa vie où il avait pris une direction plutôt qu’une autre. Le moindre de ses pas, de ses mots et de ses gestes depuis sa naissance, chaque bouffée d’air qu’il avait respirée. L’enchaînement de hasards qui avait conduit ses parents à se rencontrer et à s’aimer, et avant eux leurs parents et les parents de leurs parents alors que chacun d’entre eux venait d’un pays différent autour de la Méditerranée. Les guerres et les haines qui avaient dispersé et brassé des populations innombrables au travers des millénaires. La longue transhumance des hommes sur toute la planète à partir du berceau originel africain depuis deux millions d’années. La découverte du feu par des pré-hominiens et toutes celles qui avaient suivi. La disparition des dinosaures. L’apparition du système solaire. La structure des atomes. Le big bang. Tout. Tout ça avait enfin une finalité : qu’il se retrouve à ce moment-là, dans cet endroit-là, en face de cette personne-là ».

    anti, à la croisée des destins.

  4. Anna Post author

    « tout est parti d’un point, d’un simple point infini »

    En physique, une singularité est un point au voisinage duquel certaines quantités deviennent infinies. Le Big Bang en est l’exemple le plus connu.

    Anna, big bang badaboom

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