Sète au bar que ça s’passe

On est rentrés tard hier soir d’une super journée en compagnie de Michel Rauscher et d’une amie à lui, Francine. Je vais vous raconter ça plus en détails, mais pas tout de suite, trop fatigué. Pour ce matin, je vais juste vous montrer deux photos collector suprêmes prises par Anti, de moi en train de faire de la batterie dans un bar sur le port de Sète avec de parfaits inconnus, lieu que Michel nous a fait découvrir en fin d’après-midi. Des instruments sont posés là, à disposition de qui veut jouer.

Ah, au fait : Anti s’est encore faite draguer par un mec qui l’a croisée au bar. Mieux, il était breton, de Rennes, champion de France comme Anti, pas mal comme argument pour entamer la conversation. Seuls deux minuscules obstacles se sont dressés sur sa route pour l’empêcher de pousser la drague au-delà de quoi que ce soit de répréhensible. Le premier, c’était moi juste à côté d’Anti et, de plus, j’étais quand même le batteur, donc avec un avantage compétitif très supérieur à n’importe qui d’autre. Le second, c’est que sa femme était là aussi et  l’a rejoint avec leurs deux enfants pour lui dire gentiment qu’il était l’heure de rentrer. Même si la Rennaise n’est pas farouche, ça calme les ardeurs du Rennais aventureux, qui, pas vexé tout de même, nous a lancé un kenavo souriant en partant.

Mais tout de même, ma chérie qui fait tourner la tête à deux dragueurs, deux jours de suite et tous les deux allumés à la bière, donc désinhibés au point d’aborder le super top modèle qu’est Anti, c’est fort.

On s’est bien marrés.

La suite à suivre 🙂

Très belle journée à vous

 

3 Replies to “Sète au bar que ça s’passe”

  1. Valentine

    Eh eh super! Sympathiques retrouvailles dans une ville si typique.
    Chez nous, pas plus tard que ce matin, une dadame (nan, j’ai pas dit mèmère) à chien chien a abordé le Chef. Et que c’est moi le Chef, et que je suis à la retraite et patin couffin et gnagnagna……
    J’ai tracé mon chemin, droit devant!!!

  2. Anti

    Mdrrrr Valentine !!! J’imagine tellement bien la scène (et ta tête !).

    « Mieux, il était breton, de Rennes, champion de France comme Anti, pas mal comme argument pour entamer la conversation. »

    Mieux que ça : pas mal comme argument pour un free hug d’entrée, comme ça, paf, direc’. Mais comme dit Anna : « j’étais quand même le batteur, donc avec un avantage compétitif très supérieur à n’importe qui d’autre. » CQFD.

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