One Reply to “On ne réglemente pas la torture, on l’abolit”

  1. Alberich

    Je connais cette revue que je trouve dans la plupart des magasins bio où je vais. Ces articles sont une double bonne opération pour la cause anticorrida : d’abord, parce que le tirage est assez conséquent (230 000 exemplaires) ; ensuite, parce que le public des magasins bio est davantage susceptible que la moyenne de s’intéresser à cette question éthique et de vouloir ensuite soutenir des associations anticorrida, voire s’impliquer au niveau militant.

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