Comment j’écris

Je suis passionnée par l’Univers en général et l’histoire de l’humanité en particulier. Un élément fondamental de cette histoire est celle de ses croyances: superstitions, symboles, religions et leurs déviances – sectes, faux gurus, faux mages, etc. Il est fondamental parce qu’il est le reflet omniprésent depuis que l’homme est homme de ses peurs face à des forces qui le dépassent.

Je suis personnellement athée, je le précise, ce qui ne m’empêche pas d’être en harmonie profonde avec les valeurs et les enseignements du bouddhisme tibétain (qui est d’ailleurs un athéisme puisqu’il dit que l’homme est seul responsable de son destin). Je suis d’autant plus fascinée par les constructions mentales, souvent extrêmement sophistiquées, que sont les religions et le recours à l’irrationnel pour rationaliser tout ce qui peut nous échapper. Et je suis également fascinée par les ressemblances extraordinaires qui sont présentes dans toutes les religions autour de la planète.

Les religions primitives

Les religions primitives ont pour point commun d’être bâties sur des divinités qui ne sont ni bonnes, ni mauvaises mais simplement puissantes. En cela, elles sont très proches de la Nature. La Nature apporte des bienfaits (l’eau, la nourriture) et des malheurs (les orages, les inondations). Elle n’est ni bonne, ni mauvaise. Ces divinités sont très souvent hermaphrodites, même si leur représentation habituelle est féminine. On peut citer par exemple Ishtar en Mésopotamie (aussi connue sous le nom d’Astarté ou d’Inanna) et Ardhanari en Inde (la forme androgyne de Shiva) – il y en a beaucoup d’autres, partout autour du globe. Elles sont également systématiquement associées à deux formes de pouvoir antagonistes: la sagesse et la guerre (Athena), la beauté et le chaos (Gaïa), la fécondité et la stérilité (Lilith – qui est par ailleurs la plus ancienne divinité connue, sa trace remontant au paléolithique).
Dans la tradition judéo-chrétienne, qui est sans doute celle qui est la plus familière à la plupart d’entre nous, on retrouve la même dualité chez Dieu en personne, du moins sa forme la plus ancienne: le Dieu de l’Ancien Testament, qui est surnommé à juste titre le Tout-Puissant. Il fait le bien autant que le mal (voir la parabole de Job par exemple) et Satan n’est pour lui qu’un ange déchu dont il contrôle facilement les agissements. Ce sont les Catholiques qui vont modifier ses attributs en en faisant un dieu bienfaisant et en attribuant au Diable tout ce qui est mauvais – ce qui implique du coup que Dieu n’est plus si puissant que ça puisque le Diable est son égal. Ce « bricolage » va tout compliquer et donner naissance à des variantes vite qualifiées d’hérésie par l’Eglise (les Cathares, les Manichéens, etc.).

Dans mon livre « Le Miroir Noir », je raconte un dialogue à ce sujet entre Claire l’athée et Gabrielle la descendante d’une lignée de sorcières. Il parle de la création du Diable par l’Eglise au XIVème siècle pour tenter de faire oublier un dieu primitif nommé le Dieu Cornu et adoré par les gens proches de la terre (paysans, serfs, etc.). Voici un extrait qui le décrit:

Le Dieu Cornu « remonte à la préhistoire et il est commun à toutes les civilisations de la planète depuis que l’homme existe, bien avant toutes les autres religions. Il s’agissait d’une personnification de la puissance de la nature, d’où les cornes : pour les peuplades primitives, les animaux qui symbolisaient le mieux la puissance, et aussi la fertilité, étaient les taureaux, les aurochs ou leur équivalent d’une région du globe à une autre. On rendait hommage aux forces et aux bienfaits de la nature en honorant ce Dieu Cornu. Et comme la plupart des autres divinités anciennes, le Dieu Cornu était à la fois une force du bien et du mal, parce que la nature n’est ni bonne ni mauvaise. C’est lui que Michel-Ange a représenté avec sa sculpture de Moïse dont le front porte deux cornes, lui qu’adoraient les habitants de la Crète antique, lui qui a inspiré les casques ornés de cornes dans un nombre incalculable de contrées sur tous les continents habités de la Terre. La lettre A, qui commence tous les alphabets, est un vestige de ce culte universel : c’est le dessin d’une tête de taureau, parfaitement reconnaissable même si la tête s’est mise bizarrement à l’envers avec le temps dans l’alphabet que nous utilisons. Elle était à l’endroit chez les Egyptiens, à la fois à l’endroit et à l’envers dans l’aleph de l’alphabet hébreu et couchée sur le côté dans l’alpha grec. Quand le christianisme, pourtant le plus généreux des messages à son apparition, s’est transformé en dogme et en force de domination, les paysans, les gens proches de la terre ont continué à adorer le Dieu Cornu, mais en cachette. L’Eglise n’a pas supporté cette atteinte à son pouvoir, ce risque de fragilisation. Elle a appelé ces rites des sabbats, parce que le mot faisait penser au shabbat des Juifs, qui étaient unanimement méprisés à l’époque. Et elle a décrit le Dieu Cornu comme un être hideux pour effrayer les imaginations, généralement un bouc puant couvert de vermine, puis l’a nommé « diable », qui veut dire « ce qui oppose » en grec. Par réaction, le peuple des sorciers en a fait un symbole, un ciment de sa liberté. Et au grand dam de l’Eglise, Diabolos, celui qui oppose, est devenu Symbolos, celui qui rassemble. »

Un extrait plus détaillé est en ligne sur ce blog dans la section « Extraits de mes livres » (« Hérésie »).

En dehors de « Là où tu es » qui est l’histoire d’une passion amoureuse, tous mes autres livres ont pour toile de fond un aspect particulier des croyances primitives:
– le mythe de Lilith et la sorcellerie (Les Trois Perles de Domérat)
– la Kabbale et les divinités babyloniennes (Le Miroir Noir)
– Les Cathares et le Zoroastrisme (La crypte au palimpseste)
– Les dieux pré-olympiens et minoens (Le drap de soie du temps)
– L’omniprésence depuis le paléolithique de divinités féminines dans toutes les cultures de la planète, qui sont en fait des avatars multiples de ce que certains appellent la Déesse Mère (La femme primordiale).

Les aspects historiques et scientifiques

Le point de départ est toujours pour moi de rassembler le plus possible de documentation sur la toile de fond. Je n’en utilise ensuite qu’une toute petite partie, mon but n’étant pas d’écrire un traité des religions ou de sociologie comparée mais un roman. J’indique dans la postface de mes livres les sources des éléments principaux que j’ai utilisés et des pistes pour les lecteurs curieux qui souhaiteraient creuser plus loin.

Je me documente également sur le ou les lieux qui vont être utilisés dans le récit, ainsi que sur tous les détails techniques, historiques, scientifiques que je compte exploiter (les aspects historiques de la sorcellerie dans « Les trois perles », l’apparition de l’écriture à Uruk en Mésopotamie dans « Le miroir noir », la naissance du volcan de Santorin dans « Le drap de soie », la géologie du causse Méjean dans « La crypte », les connaissances sur l’apparition et les migrations d’homo sapiens pour « La femme primordiale », etc.).

Toute cette documentation me donne des idées de point de départ pour un récit. Je n’ai jamais de plan préalable ni le moindre début d’idée de ce qui va se passer 5 pages plus loin que celle que je suis en train d’écrire. Les intrigues se créent au fur et à mesure de l’écriture. Je me plonge totalement dans le « monde » qui va voir se dérouler l’histoire et comme il est solidement documenté, ce que je vais écrire va toujours rester (autant que possible) cohérent.

A chaque nouveau chapitre, je « vois » l’action se dérouler comme si j’assistais à un film, je me contente de la coucher sur le papier. Tant que je ne « vois » pas, je n’écris pas. A un moment, c’est simplement là dans ma tête et j’écris. C’est aussi simple que ça. Parfois, je passe des semaines sans écrire une ligne (j’ai mis presque un an à écrire « Là où tu es ») et parfois tout s’enchaîne à toute vitesse (moins de 2 mois pour écrire « Le drap de soie »). Ca vient quand ça vient, je ne sais pas comment le dire autrement.

Les personnages de mes romans

Pour chacun d’entre eux, je m’en fais initialement une idée aussi précise que possible: ses traits physiques, son caractère, ses goûts, son passé. Comme beaucoup d’auteurs, je m’appuie parfois sur quelqu’un de mon entourage comme modèle de départ mais ce n’est pas systématique: Charlie, Mina, Claire, Sybille s’inspirent de personnes qui me sont proches mais Gabrielle, Kiss, Nora, Samyr sont totalement sortis de mon imagination, la caissière d’Intermarché et la femme préhistorique dans « La femme primordiale » aussi.

Une fois un personnage clairement défini dans ma tête, je le mets en scène mais la plupart du temps, je ne le décris pas sauf si c’est indispensable. Par exemple, dans « Les trois perles », je précise que Gabrielle est rousse et que Salomé a les cheveux teints en vert fluo parce que ces détails jouent un rôle-clé dans l’histoire. Mais je n’ai jamais donné la moindre info sur l’aspect physique de Charlie qui est pourtant un protagoniste récurrent présent dans tous mes livres. C’est délibéré: ainsi, chaque lecteur/lectrice visualise ce qui lui semble être le physique correspondant au caractère et aux actions du personnage. Et, du coup, s’identifie d’autant plus facilement à lui (il me semble): tout le monde a une idée de la tête de Charlie mais chacun a la sienne. J’ai eu quelques échanges très drôles avec certains lecteurs à ce sujet (ils n’avaient pas remarqué ce « détail »: rien ne dit que Charlie a un visage comme ceci ou comme cela).

Je ne décris donc pas mes personnages, je les fais parler et agir. Inutile de détailler leur personnalité, elle apparaît ainsi d’elle-même et (il me semble) ça allège d’autant la fluidité du récit. En fait, j’écris ce que j’aimerais lire: puisque je saute les descriptions interminables dans les bouquins que j’achète, dans les miens je n’en mets aucune (en dehors de ce qui est indispensable à la compréhension du récit, bien sûr).

Construire une histoire

Pour construire une histoire, je pars en général de plusieurs intrigues qui vont se dérouler en parallèle. Elles peuvent sembler totalement disjointes ou complémentaires. Ce qui compte, c’est qu’à la fin, bien sûr, tout doit devenir cohérent (du moins, je l’espère). Corollaire: il ne faut jamais laisser un mystère en suspens lorsque le livre se termine.

Par exemple, pour « Les trois perles de Domérat », je suis partie des ingrédients suivants:
– le titre (que je trouvais joli et auquel il fallait trouver un sens)
– l’histoire de la sorcellerie (parce qu’elle me passionne) et du mythe de Lilith (qui leur est directement associée). Il se trouve qu’une personne de ma famille a exercé l’activité de « sorcière » pendant deux ans dans le bocage normand. Elle était ethnologue au CNRS et psychanalyste. Elle a raconté cette expérience extraordinaire d’immersion dans deux livres, malheureusement devenus difficiles à trouver (Jeanne Favret, « Les mots, la mort, les sorts »).
– l’histoire d’une amie d’origine guadeloupéenne qui m’avait raconté qu’elle descendait du viol d’une de ses aïeules esclave par son « maître » blanc. J’avais initialement écrit une nouvelle à ce sujet, « Salomé pleure » (devenue un chapitre des « Trois perles »).
– l’envie de décrire ce qu’avait pu être la vie de Charlie avant de connaître Mina et Kiss (comme je l’ai dit ailleurs, c’est en fait « Là où tu es » qui a été mon premier livre).

Pourquoi Domérat? Parce que la personne qui a inspiré le personnage de Mina y a passé son enfance. Et que je trouvais assez drôle de faire de ce bourg où il ne se passe jamais rien un lieu inquiétant hanté par des sorcières maléfiques. Un truc rigolo, c’est que désormais Domérat est très souvent associé à « sorcellerie » sur le web, tellement il y a eu de téléchargements des « Trois perles ».

Dans le genre renommée internationale, je ne peux pas ne pas me faire le petit plaisir de vous citer cette autre info people trouvée sur le net. Pour une raison que j’ignore totalement, je suis répertoriée parmi les « stars » affiliées à un mouvement kabbaliste rendu célèbre par Madonna. Je figure aux côtés de cette dernière avec Geri Haliwell, Victoria Beckham et Britney Spears. Que de beau linge, comme vous voyez. On est au plus haut niveau. Cette « information » a été reprise par plusieurs sites traitant de mystique juive… Sacrée Anna...

La piste « sorcellerie » m’a donné le personnage de Gabrielle et de sa lignée. Les détails racontés dans le roman sur Madame de Montespan et son goût pour les messes noires sont authentiques, même s’ils semblent plus fantastiques que n’importe quel roman. De même, la description du grand sabbat s’appuie sur divers documents d’époque.
La piste de mon amie guadeloupéenne m’a donné le personnage de Salomé.
Le titre du livre m’a amenée à créer un troisième personnage de femme, Nora, totalement imaginaire.

Une idée-clé, que j’ai ensuite reprise dans mes autres livres, a été d’imaginer des situations qui puissent toujours s’interpréter de deux façons différentes et antagonistes: surnaturelle ou rationnelle. Est-ce que Gabrielle contrôle les sentiments de Charlie grâce à un sort ou est-ce Charlie qui est attiré par Gabrielle simplement parce qu’elle lui plait? Est-ce la mère de Gabrielle qui fait éclater un orage au moment où l’avion de Charlie quitte la piste ou est-ce un phénomène météorologique normal? Au bout de combien de coïncidences doit-on se demander s’il s’agit bien de coïncidences? Le jeu a consisté à pousser les limites aussi loin que possible (dans la mesure de mes propres limites, cela va sans dire).

« Le miroir noir », qui met en scène à nouveau Gabrielle et d’autres personnages de sorciers, est bâti autour de la même idée-clé, avec une accumulation de mystères plus abracadabrants les uns que les autres (dont la prétendue immortalité de l’un des mages noirs qui donne son nom au livre), qui tous sont résolus avant l’apparition du mot fin.

Dans la trilogie « Reflets inachevés », je pousse plus loin l’idée de faire se répondre des évènements séparés de plusieurs centaines, voire plusieurs milliers d’années, et qui se produisent parfois à plusieurs milliers de kilomètres de distance. Est-ce que les prémonitions ou les rêves visionnaires, par exemple, sont de simples flashes d’époques et de lieux différents qui sont captés par des personnes particulièrement sensibles? Comment se fait-il qu’un animal totalement mythique comme le dragon soit représenté de façon identique partout autour de la Terre alors qu’il n’y avait aucun moyen matériel de partager ces représentations d’un continent à un autre à l’époque où elles sont apparues? Qu’est-ce qui peut expliquer que toutes (absolument toutes) les religions les plus anciennes aient en commun toujours les mêmes animaux symboliques – l’oiseau, l’animal à cornes et le serpent? Ces thèmes et quelques autres sont abordés dans « La crypte au palimpseste », « Le drap de soie du temps » et « La femme primordiale ».

78 Replies to “Comment j’écris”

  1. Anna Galore Post author

    « Ca imprime… » c’est exactement ce que tu m’as dit la toute première fois juste après ton célébrissime post « C’est mieux avec les liens ».

    Anna, mémoire de toi

  2. Antillaise Post author

    «  »Ca imprime… » c’est exactement ce que tu m’as dit la toute première fois  »

    Nous deux, on se conjugue au présent ma Belle.

    Anti, Bloody ? Toute première fois, toute, toute, première fois, toute, toute première foiahahahahah !

  3. Anna Galore Post author

    Même quand on n’est pas en rouge et noir

    (nan, Slay, fais pas attention, c’est juste pour que Bloody l’ait dans la tête toute la journée, hyark hyark hyark)

  4. boudufle Post author

    heu, moi pour ce qui est de télécharger c’est cotton…pas possible hier soir, mais bon, je vais refaire…
    Boudufle bornée? OUI !!!!

  5. sampang Post author

    ah bah mince alors , moi qui croyais que la caissière existait, chui déçue là… mais alors … chui très très déçue !!!
    ( je suis pétée de rire en l écrivant mdr)

  6. sampang Post author

    euh… Anna, je reviendrai te lire ici cette nuit hein parce que là… t es un peu longue… et moi je ne sais point lire en diagonale. Faut que tous les mots soient lus sinon je ne suis pas bien ;).
    Et puis faut que je fasse le tour du propriétaire parce que je suis très en retard… ( en fait Boudufle, c est peut être moi le lapin blanc mdrrrr )
    et là j ai l histoire qui me revient du ptit lapin et de sa queue toute blanche ahahah

  7. Anna Galore Post author

    Boud? Si tu veux, je te l’envoie en fichier attaché par mail (ça risque d’être exactement pareil, cela dit…)

  8. boudufle Post author

    MDR…! un lapinou blanc passe pô dans mon imprimante, c’est , ça coince au niveau de la queue…..

    Anna ma chérie, tout est bon à prendre, fais, et moi je panouillage après ! si pas possible, je suis à te demander de me lire en direct dès ma venue…pas dans la mouise hein ???

  9. feuilllle Post author

    b’jour tous toutes.
    Slayeras , Sampang,le mot est partenaire! mdr
    Anti , Anna, les autres bravo je vous ai lu un peu partout ce matin.
    ça y est je suis mamie depuis lundi.
    les divers examens fait au petit Eloan disent que tout va bien, plus qu’une echo dans trois semaines 🙂
    52cm, 3kg270, il a dejà redepassé son poids de naisance
    je vous adorent….
    (Anna comment fais-tu pour dans tes « colères » rester si zen?)

  10. Anna Galore Post author

    Feuilllle, quel doux plaisir d’avoir de tes nouvelles! Et des bonnes, en plus 🙂

    Comment je reste zen? Ca n’a pas toujours été le cas… mais j’essaie de progresser! Un de mes profs au lycée, quand j’avais 12 ans, avait dit un jour: « La colère est un signe de faiblesse. » Comme un écho à Lao Tseu qui dit: « Celui qui apprend à céder maîtrise la force ».

  11. Antillaise Post author

    Félicitations Feuilllle !!! En plus du plaisir de te lire, celui d’avoir de bonnes nouvelles !!!

    Anti, Ro Bisous !

  12. sampang Post author

    Merci Feuilllle ! parce que depuis le temps que Slay scotche dessus ;).
    Pour Eloan… tu sais déjà ^^
    Bien belle journée à toi Feuilllle et à très bientôt donc 🙂

  13. sampang Post author

    Anna …
    Je ne crois pas au hasard…
    Je ne crois pas que ce soit aujourd hui par hasard que je reçoive tes livres…
    J y réponds ici puisque c est ici que j ai demandé et c est ici que tu as donné…
    Merci ! Mille fois merci de m avoir envoyé tes 3 livres. Ma joie et mes pleurs mélangés expriment qui je suis en cet instant présent. Quelqu un de déchiré mais qui sait et a toujours su au cours de sa vie, que dans la profondeur du gouffre ou des ténèbres, elle avait la chance d avoir toujours eu de la Lumière autour d elle. D autres n en n ont pas, j en ai pleinement conscience. C est pour cette raison que je sais avoir de la chance…
    Merci à la vie de m avoir fait vous rencontrer ici et maintenant…
    Merci Anna d être qui tu es ^^

  14. Anna Galore Post author

    Merci pour tout ce que tu me dis et pour être celle que tu es.

    J’ai tout de suite senti qui tu étais au fond de toi lorsque nos routes se sont croisées sur un autre forum. C’est pour cette raison que j’ai mis ton nom dans les remerciements de « la femme primordiale » à un moment où nous n’avions encore presque pas échangé de mots et bien avant que je ne te rencontre « en vrai » chez toi.

    Je t’embrasse.

  15. Slayeras Post author

    purée mais sur ton smiley tu m’as fait obèse Anna !! un « O » majuscule mdr ! 😀

    Serai-je enceinte ??? c’est un signe ! Bidou Slay tout glonflé !

    Allez j’vous bises encore et encore mais loulous ! vs êtes chouettes ! tendres ! beaux !

    beau oui comme bowie… eh ehe pour ceux qui connaissent, c’est une chanson composée par Gainsbourg pour Isabelle Adjani !!!!!!!yeah !!!!!!!bo talala

  16. Anna Galore Post author

    Naaaaaaaaan c’était un énOrme bisOu !!!

    et on doit être un paquet à la connaitre, la chanson de Gainsbarre.

    Anna, pull marine

  17. Slayeras Post author

    Halo ? oui oui j’vois bien le halo de lumière ! là… purée ! c’est beau au fond de la piscine… !
    Ca plane pour moi lalalalalala ! Ca plane pour moi moi moi moi moi, ça plane pour moi…

    Dj’s Slay !! Yeah ! 80’s !

  18. sampang Post author

    alors… je viens de lire « les trois perles… » j ai tout simplement adoré !!! ça va à une vitesse étourdissante ! on tourne la page avant même d avoir terminé le dernier mot. On est aussi essoufflés que les protagonistes ( bon certes, pas pour les mêmes raisons…;)). merci toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! ^^

  19. Anna Galore Post author

    Déjà? Ah ben merciiiiiiiiiiii toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii aussiiiiiiiiiiiiiiii ^^

    Plus que 4 livres et tu m’auras rattrappée. Faut vraiment que j’avance le 7ème, fffff…

  20. voiedoree Post author

    Bon je suis en retard c’est vrai mais j’aime prendre mon temps, tout arrive toujours au bon moment. Quand j’aurais démarré ta seconde trilogie Anna je sais que je n’en sortirai pas avant d’avoir fini.. J’en suis au chapitre 10 de mes corrections de « l’opération » mais contrairement à toi et Sampang il me faut au moins 10 relectures avant d’être à peu près satisfait.

  21. voiedoree Post author

    J’oubliai, je vais de temps à autre voir les sites de la communauté et je suis tombé sur « hérésie », c’est le musée des horreurs!!!!!! Où es tu au milieu de tout ça???

  22. Anna Galore Post author

    Le site Hérésie est tenu par Elisandre, une personne d’une grande érudition sur la sorcellerie et les périodes les plus noires de son histoire. Je me suis appuyée sur plusieurs de ses articles en ligne pour écrire « Les trois perles ». Ils sont détaillés et précis. De plus, ils ont l’avantage de raconter les choses du point de vue des sorcières, ce qui me semble précieux. Elisandre et moi sommes différentes mais nous avons une sympathie et un respect mutuels. Je ne manque jamais de passer sur son site lorsque je mets en ligne un nouveau livre. Elle m’a toujours encouragée et je crois qu’elle apprécie que, lorsque je parle du peuple de l’ombre, je le fais avec amour même si je n’en fais pas partie. Nous partageons la même fascination pour le mythe de Lilith et nous avons la même passion pour l’histoire des croyances primordiales, celles des origines. Elisandre m’a fait l’honneur d’écrire la superbe préface du « Miroir noir » pour son édition en livre. Elle vit à Rennes le Château (un village célèbre pour qui s’intéresse à l’histoire des Templiers) et y tient une librairie, ce qui confirme son goût pour la culture et son envie de la partager. J’espère lui rendre visite un jour.

    C’est aussi sur Hérésie que j’ai rencontré Sylphide. Elle a été la première à télécharger « Le miroir noir » quand je l’ai mis en ligne en août 2006, puis à poster une critique sur Hérésie, deux heures à peine après l’avoir fait. Nous avons sympathisé, elle m’a appris qu’elle se prénommait Gabrielle et qu’elle avait l’âge de mon personnage du même nom dans « Les trois perles », ce qui ne veut pas dire qu’elle lui est semblable. Sylphide m’a ensuite retrouvée sur LU, puis ici sur ce blog. Son goût de l’ombre ne l’a jamais empêchée d’être lumineuse.

  23. voiedoree Post author

    C’est vrai que je me suis arrété au début (les supplices) sans aller voir plus loin, je vais continuer.Mais il est aussi vrai que le passage par l’ombre est indispensable pour tout savoir de la lumière.

  24. sampang Post author

    mais contrairement à toi et Sampang il me faut au moins 10 relectures avant d’être à peu près satisfait.

    Ecrit par : voiedoree | 12 mars 2008

    euh… en même temps hein moi ce ne sont pas des livres que j écris ;)…

    J ai eu en tête la chanson de Lavilliers sur Salomé en finissant ton livre…
    J ai commencé  » là où tu es  » . Bien sûr que je parlerai de ton livre après et de son contenu littéraire mais là je voudrais parler des musiques ou chansons que l on peut entendre ou que j entends en te lisant aussi. Au chapitre un, tu mets les mots de Robert Nyel, alors moi j entends Mouloudji bien sûr ^^. Et une autre chanson de lui me reviens :
    http://fr.youtube.com/watch?v=d9D486zrsx4
    ^^

  25. sampang Post author

    bon bah je mettrai pas le lien parce que ça ne veut pas poster si je le mets…
    je disais donc que lorsque j ai lu ton livre « les trois perles… » j ai eu en tête la chanson de Lavilliers un bon moment « Salomé » et là je commence « là où tu es » et bien sûr comme au 1er chapitre tu mets les mots du bal perdu, j associe une autre chanson de Mouloudji que j adore  » un jour tu verras ». C est très drôle que je ne puisse te lire sans le son quoi. Y’a toujours une mélodie ou une chanson…^^

  26. Anna Galore Post author

    Les paroles de chanson reflètent ce que j’écoutais au moment d’écrire… ou celles que j’avais en tête, tout simplement. Il m’arrive assez souvent d’écrire avec la musique à fond y compris au milieu de la nuit (quand il n’y a personne d’autre dans la maison bien sûr! quant aux voisins, pas de souci, mes murs sont épais).

    Ca dépend, en fait. D’autres fois, il me faut un silence total. Et d’autres, je suis entourée de bruits divers (les enfants, la télé) mais je n’entends plus rien tellement je suis plongée dans mes mondes.

  27. sampang Post author

    nan mé je demandais pas de commentaires heinG, je disais simplement, ce que MOI je ressentais heinG 😉
    je crois que je vais apprendre à faire de la plongée maintenant ! ^^
    bon j ai voulu apprendre la sorcellerie… faut peut être que j arrête de te lire lool

  28. sampang Post author

    Alors… je viens de terminer ton livre « là où tu es »…
    Moi c est comme une aura en fait , faudrait pouvoir photographier mon ressenti parce que mes mots ne sont jamais à la hauteur des sentiments exprimés, vécus…
    J ai aimé ton livre dans l attente. Il me parle plus que jamais… Et c est drôle parce que je voulais parler de cette façon que l on a parfois d aimer, ici l autre jour, parce que dernièrement, ailleurs, je me suis sentie incomprise et totalement démunie à pouvoir l expliquer ou l exprimer. Et je me retrouve dans tes mots où toi tu dis dans ce livre page 156 :  » Alors voilà, j aime tout le monde et j aime donner et j aime aimer ».
    On m a dit que ma façon d aimer était une façon tout à fait égoïste d aimer, que j aimais pour mon plaisir, pour me faire plaisir mais est-ce que j aimais vraiment ? Je retirais du plaisir à aimer pour mon propre plaisir… je ne sais plus comment expliquer pourquoi je suis ainsi faite…je ne sais pas pourquoi je n arrive pas à détester… je ne sais pas pourquoi je pousse encore des portes que l on referme… je ne sais pas pourquoi les choses me touchent et me tranpercent et me boulversent et m innondent de joie ou de bonheur…
    pourtant une chose est sûre encore là, maintenant, je ne peux vivre sans aimer, sans donner…

    Merci Anna pour cette merveilleuse lecture qui m accompagne depuis hier ^^
    J entame dès ce soir, le miroir noir 😉

  29. voiedorée Post author

    Tu as entièrement raison sur tous les points Sampang, même si tout est intuitif. Si on n’est pas capable de s’aimer, comment aimer les autres ?

  30. Anna Galore Post author

    Merci Sampang pour tes mots plein de sensibilité. Ton coeur est blessé et certaines cicatrices ne se referment peut-être jamais, mais ce qui compte c’est de ne jamais cesser d’y croire. Quelqu’un quelque part t’attend et c’est celui que tu attends. La seule question, c’est de le trouver. La seule condition, c’est de garder son coeur ouvert. La seule voie, c’est d’aimer.

    Je t’embrasse

  31. sampang Post author

    Si mon coeur est blessé c est parce que j ai voulu réunir des personnes qui n étaient pas prêtes je crois au pardon, ni d elles-mêmes, ni de l autre. On m en tient rigueur… On me déteste pour cela… Tous leurs mots non dits sont devenus mes maux… J aurais tant voulu qu elles s aiment à nouveau…Et en faisant cela je sais aujourd hui que j y laisse mon Amour. Une trop grande colère est là que je ne peux apaiser…
    Voiedorée et Anna… merci ^^

  32. anti Post author

    Tes mots me rapportent en mémoire ceux de mon cousin, cambodgien, encore enfant, qui disait à sa mère adoptive (ma tante donc) : « Maman, je suis en colère alors je ne vais pas te parler car je vais dire des choses que je vais ensuite regretter. »

    J’étais pas grande non plus à l’époque mais ça m’a marquée à vie ses paroles de sagesse et d’humilité si belles et si fortes à la fois. Je n’arrive pas à savoir si l’arrivée de ces deux p’tits bouts dans notre famille n’a pas marqué le début de mon penchant pour l’Asie…

    anti, une seule famille, la race humaine.

  33. voiedorée Post author

    La culpabilité ne sert à rien et empêche d’avancer, ce qui compte c’est l’intention que l’on met dans nos actes, le reste…. n’est plus notre problême

    C’est ce que je pense

    bisous

  34. anti Post author

     » ce qui compte c’est l’intention que l’on met dans nos actes, le reste… »

    J’ai tendance à penser la même chose. Toutefois, j’ai lu une intervention du Dalaï Lama très interessante qui disait que, peu importe l’intention de départ que l’on a, pourvu qu’on fasse le bien (faudrait que je retrouve le passage exact). En effet, je trouve ça très interessant cette idée. On peut se forcer à faire des choses biens même par pur égoïsme parce qu’on entrera dans une dynamique et qu’au final on finira par avoir de bonnes intentions.

    A méditer.

    anti

  35. Slayeras Post author

    Cet article m’intéresse Anti. Envoie, si tu le retrouves. 😉
    Il y a peu, je pensais aussi comme voiedoree, en me disant que c’était l’intention qui comptait.

    Ce qui compte, c’est peut-être que nous en nous-mêmes, on sache pourquoi on agit de telle ou telle façon mais surtout pas juger les autres ou remettre en cause leurs bonnes actions sous prétexte de… Car là, on est dans l’erreur.

    De plus, admettons, qu’une personne fasse le bien pour se sociabiliser mais qu’en fait ce soit un « tueur en série » (je stéréotype), cette personne quand elle tue ne fait pas le bien donc si elle ne fait pas le bien, elle n’entre pas dans une bonne dynamique de toute façon. Attends faut que je médite car je sais pas si je suis claire… Mais ce que dit le Dalaï-lama est très logique.

  36. anti Post author

    C’est dans un petit livre s’appelle « Océan de Sagesse ». j’t’envoie le livre dès que j’ai ton adresse m’z’elle.

    anti

  37. voiedorée Post author

    Oui je connais cette « citation » du Dalaï Lama, Il faut faire les choses le mieux possible, mais l’Intention qu’on y met est à mon avis primordiale.
    Par Intention je n’entends pas l’intention banale et courante…. tu vois ce que je veux dire?

  38. voiedorée Post author

    Peut être!

    Je crois que tous les choix que l’on fait dans la vie concourent à notre réalisation. Les conséquences sont ce qu’ils sont, s’ils ne correspondent pas à nos meilleures possibilités d’évolution, le retour de baton se fait sentir, soit rapidement soi plus longtemps après selon ne niveau de compréhension où on se trouve. C’est pour cette raison qu’il faiut faire au mieux, selon ce que nous croyons approprié sur l’instant. Les conséquences de nos actes détermineront alors la justesse de nos actions. Pas la justesse en matière de réussite ou d’erreur mais la justesse selon notre propre plan.

  39. anti Post author

    « Chez galorannakado c’est Noël tous les jours. »

    Normal, l’origine de cette fête marque la fin de la période des ténèbres et celle du retour vers la Lumière…

    C.Q.F.D.

    anti

  40. Anna Galore Post author

    Et pour l’annapéro, ayez la galorannattitude: demandez notre boisson galorannisée (je ris car…)

  41. voiedorée Post author

    Et ce propre plan pourrait être appelé « notre chemin de vie ». 😉

    qui se batit selon nos réponses aux expériences présentées…

  42. sampang Post author

    Nos intentions ne reflètent que ce que nous sommes…

    Slay arrête de penser que tout le monde juge mdr.

    Ma pudeur n a pas lieu d être ici, je suis avec des ami(e)s ^^.

    Je ne pense pas que ce soit de la culpabilité Voiedorée quoi que nous ne devons pas en être loin ;). Les conséquences de mon vouloir se sont traduits par une situation très difficiles à vivre. C est cette responsabilité d avoir pris une décision par rapport à mon ressenti perso et qui ne correspondait pas aux autres.
    à Anti je dirais ce que je dis depuis un moment 😉 « ce n est pas parce que l on serait en colère que l on doit dire n importe quoi ». Sous la colère tu peux élever le ton peut être mais tu dis la vérité, les choses telles quelles sont. Pourquoi sous l effet de la colère certaines personnes ne peuvent s empêcher d être méchantes, blessantes ?
    Oui Voiedorée : la justesse pour nous. Et trop souvent peut être je crois que tout le monde imprime les choses comme moi. Ce que je crois, ce dont je suis convaincue et dont je voudrais que l autre puisse connaître alors que parfois nous sommes à cent lieux. Tiens ça me rappelle toi lol quand tu essayais d expliquer quelque chose que d autres ne pouvaient comprendre. Alors la colère de ceux qui ne comprennent pas arrive et là c est un vrai volcan en éruption ! ça fuse de partout ;).
    Le retour du baton ? serait-ce de me dire que les choses qui me correspondent ne correspondent pas aux autres ? peut être… mais là, ici et maintenant, je suis heureuse. Cela a permis les bonnes questions chez l autre et surtout le savoir pourquoi cette réaction aussi brutale à mon égard. Il fallait un « coupable » j étais là. Et après 8 jours de réflexion on en arrive à avoir trouvé que c est en soi que l on a mal et que cela ne vient pas de moi. S il est vrai que cela peut être soulageant, il n en reste pas moins vrai que du travail attend. Un travail qui va permettre d aller voir loin en arrière où tout a basculé et de permettre demain.
    Alors oui dans mon intention du départ il n y avait pas tout cela… mais sil a fallu cela pour permettre à quelqu un de se réveiller et de se soulager ( même si ce fut sur moi lol), comme dit Anna, malgré tout mon chagrin, mon coeur est resté ouvert.
    Parce que l Amour qui nous a fait nous rencontrer est là ! ce doit être mon chemin de vie 😉
    Que j aime être avec vous, et je vous remercie pour chacun de vos mots. Et je vous remercie aussi de vos silences ^^.
     » il n est pas de hasard, il est des rendez vous » ^^
    allez pour la route : « ouverture »
    http://video.aol.com/video-detail/-ouverture–etienne-daho/2902863808

    JE VOUS AIME !!!!!!!! ^^

  43. boudufle Post author

    on t’aime ….et ce ne sont pas des mots , mais l’on ne peut que l’écrire sur ce blog !!!

  44. Slayeras Post author

    « Slay arrête de penser que tout le monde juge mdr. »

    Hein? j’ai jamais dit ça. Il me faut un café, pas réveillée, moi.

  45. sampang Post author

    on t’aime ….et ce ne sont pas des mots , mais l’on ne peut que l’écrire sur ce blog !!!

    Ecrit par : boudufle | 15 mars 2008

    ah bon, même pas une p’tite photo ? tite pitite ?
    ( on va la rendre gaga Anna lool)

    y’a tant d Amour ici. Anna je t Aime pour tout cela !!!
    un coin où nos coeurs se vident et se ressourcent. Où notre esprit se soulage et s abandonne sans peur. Où nos âmes se lient. Où les rires fusent et le bonheur transpire.
    Que c est beau ici ^^

  46. Slayeras Post author

    Merciiiiiiiiii… Allez j’emmène ma fille faire du vélo avec mon cyberkawa !!! Je vous Bizzzz très très forts ! Vous êtes chouettes. Bon allez c’est même un smack (bisous baveux escargot, ça vous tente ? 😀 ) que j’vous lance !

  47. sampang Post author

    Anna… si tu savais comme je suis contente ! Alors j ai papoté avec quelqu un qui m a dit avoir commencé un de tes livres cette nuit ! Yes ! et c est pas tout, il rajoute  » tu sais pourquoi c est beau ce livre, parce que c est simple, fluide, limpide comme lecture, on sent pas la fille qui se la pète dans un savoir et tout et tout, et pourtant y’en a derrière tout celà ! pas de mots tordus ou compliqués. Y’a pas de verbes conjugués à des temps qui n existent même plus mdr. Et donc ça ne m étonne pas que plus de 70 000 personnes la lisent, parce que chapeau bas, écrire et transmettre des connaissances en plus d une histoire ainsi, c est aussi se mettre à la porter des autres, de tous, du plus !  »
    Voilà je voulais que tu saches ^^

  48. Anna Galore Post author

    Ah ben je suis très très très touchée, là, Sampang. Tu diras merci plein à ton ami, vraiment.

    Pfiouuuuuuuuuu…

    (euh, juste un tout petit détail: j’ai corrigé le nombre de lecteurs, tu avais mis un zéro de trop 😉

  49. sampang Post author

    lool j avais dû vouloir prendre de l avance ! bon bah comme ça quand tu y seras j aurais plus rien à dire 😉

    bah c est avec grand plaisir Anna ^^, ( et pis on sentait que ça venait heinG mdr ! il aurait presque imité Kiss sans même la connaître !)

  50. anti Post author

    Alors, pour écrire Anna il faut s’y mettre ! C’est bien beau la neige tout ça, cui cui les p’tits oiseaux mais on veut la suite !!!

    anti, rangement !

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