Des lundis comme ça

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Des lundi comme ça, je m’en ferais bien un par semaine. D’abord, parce que c’était férié et je préfère nettement rester en famille plutôt que partir bosser. Et ensuite parce que hier, c’était vraiment une journée parfaite comme on les aime.

Démarrage en douceur par un lever naturel et tardif avec moult câlins à Mirou qui dormait allongé contre moi, petite sortie expresse pour acheter de quoi faire un petit-dèj-au-lit-surprise pour ma chérie, arrivée de Dorian dans la chambre qui a participé à l’humeur joyeuse de ce réveil en se jetant en travers de la couette c’est à dire sur moi, tout ça c’était pour commencer.

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L’après-midi était déjà plutôt avancée quand on a senti un petit creux se former. Il restait justement de la veille de quoi faire une fricassée de poulet et pommes de terre sautées. Stéphane a débarqué avec Quentin au moment où on se mettait à table. Il nous a accompagnés en sirotant un espresso que je lui ai mitonné sous le regard attentif de Brisou, venu nous rendre visite également.

PB010660.JPGStéphane nous a raconté le dessert génial fait par leurs voisins pour Halloween : un plein saladier d’yeux sanguinolents. Quand Quentin a soulevé le couvercle posé sur le saladier, il a hurlé. Ensuite, il en a mangé plein. Karine, elle, n’a tout simplement pas pu y toucher. La recette est toute simple. Peler des litchis, insérer à la surface de chacun un grain de raisin, arroser de jus de framboise pour la couleur. Un délice, sans aucun doute.

Stéphane est reparti et la partie de Monopoly commencée jeudi dernier a pu se terminer. Pendant ce temps, j’ai revu le DVD de Terminator. En fait, le film passait sur une chaîne de Canalsat et j’en avais vu un petit bout du début quand j’ai dû éteindre parce qu’on passait à table. Du coup, j’ai eu envie de reprendre le film là où il en était arrivé. La photo ci-contre est celle de la scène où, pour la première fois, Schwarzie utilise sa réplique devenue culte : « I’ll be back ». Et, de fait, il revient et casse tout, ah la la, c’était bien la peine de faire le ménage dans le commissariat.

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Après la partie, Dorian et Quentin sont partis faire des jeux vidéos avec Led Zep à fond et Gwlad a récupéré, sur un vieux bouquet presque fané, des pétales de rose qu’elle veut faire sécher. Quant à Anti, elle a essayé d’apprendre à Che comment passer l’aspirateur et la serpillère mais il n’a rien voulu savoir et elle a dû le faire toute seule. C’est comme moi, avant-hier, avec le repassage : il avait à peine commencé et j’ai dû me taper tout le reste. Mais bon, c’est parce qu’il est encore jeune, faut pas désespérer.

En fin d’après-midi, nous nous sommes fait un petit plaisir en allant voir au ciné The American, avec George Clooney (euh… George, il n’était pas avec nous, hein, il jouait dans le film). Ce thriller est remarquable, d’une grande originalité, en dehors des schémas classiques, à la fois lent et nerveux, tendu et immobile. Les paysages italiens sont magnifiquement filmés. Clooney y est plus sombre que jamais; crépusculaire comme il sait l’être, aux côtés de sa partenaire, Violante Placido (une antinomie étonnante que ce prénom associé à ce nom).

Très belle journée à vous

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