6 Replies to “Eric Gustafson : Antilimit”

  1. syluanis

    Encore une magnifique découverte donc merci à toutes!Voilà un univers parallèle au nôtre,juste à côté oui mais voilà,tout dépend de l’éclairage,le serein devient inquiétant,l’antichrist plane sur les clochers,et un papillon nous regarde…Enorme!

  2. sapotille

    C’est en effet étonnant ce retour… il y a eu la peinture hyperéaliste, née des photos ; il y a maintenant la photo néo hyperéalistes(?) qui donne cette impression de peinture…
    Mais perso, bien qu’admirative de la prouesse technique, je ne suis pas fan. Il en faut pour tous ! 😉

  3. anti

    « il y a maintenant la photo néo hyperéalistes(?) qui donne cette impression de peinture… »

    Mdrrrr !

    « bien qu’admirative de la prouesse technique, je ne suis pas fan. Il en faut pour tous ! 😉 »

    Yeap ! Heureusement qu’on n’aime pas tous les mêmes choses ! En revanche, je viens de les re-re-re-re regarder et ça ce confirme, j’suis complètement dans son univers.

    Eric Gustafson. “To me it is an intimate process of projecting myself and my perspective onto the world, and the images that I produce as a result now exist as a very personal reflection of myself.”

    « Pour moi, c’est un processus intime de projection de moi-même et de ma perspective dans le monde, et les images que je produis en conséquence existent alors comme un reflet très personnel de moi-même. »

    Comme tu dis Syluanis : « voilà un univers parallèle au nôtre, juste à côté oui mais voilà, tout dépend… »

    anti

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *