Ça y est, j’ai reçu mon nouveau joujou : un Sony DSC-HX20V. Il s’agit de mon tout dernier cadeau d’anniversaire acquis grâce à une petite enveloppe offerte par mes parents. Mon précédent appareil, un Nikon Coolpix, avait rendu l’âme depuis des mois et je me contentais depuis de prendre des photos avec mon téléphone, ce qui est franchement limité.

Comment ai-je choisi ce modèle et cette marque ? Très simple : j’ai fait un tour sur Amazon pour voir ce qui entrait dans mon budget (un peu plus de 200 euros) et il m’a sauté aux yeux puisqu’il était indiqué comme le choix n°1 des internautes. J’ai alors un peu creusé le sujet en allant sur des sites spécialisés réalisant des bancs d’essai. Tout ce que j’ai pu lire m’a confirmé dans mon choix.

Je voulais quelque chose qui était encore impossible il n’y a pas si longtemps : un boitier compact qui peut se glisser dans une poche de pantalon avec un zoom de bonne qualité ultra-puissant. C’est le cas ici, puisque le zoom optique permet de grossir une scène 20 fois. Un exemple, cette scène prise avec le zoom au minimum et au maximum :

 Inutile de dire qu’à cela est couplé un stabilisateur d’image redoutablement efficace. Même sans pied et à bout de bras, les photos sont parfaitement nettes au plus fort grossissement.

Je voulais aussi deux autres caractéristiques : la possibilité de prendre des photos en manuel (les automatismes, c’est souvent bien mais pas tout le temps) et une sensibilité élevée pour des prises de vue de nuit sans flash. Mon Sony m’offre les deux, la sensibilité allant jusqu’à 12800 ASA, là où mon précédent appareil plafonnait à 3200.

Tout le reste, c’est du bonus : résolution de 18,2 mégapixels, panoramique à main levée en continu, effets plus ou moins artistiques, photos avec flou d’arrière-plan, auto-focus ultra-rapide (qui, de plus, bascule tout seul en mode macro quand nécessaire) et des tas d’autres fonctions qui ne me serviront probablement jamais.

Il existe plein d’autres appareils qui font aussi bien ou mieux, mais pas à ce prix et pas qui se glisse dans une poche. Pour une vingtaine d’euros de plus, j’ai acheté une carte-mémoire de 32 Go, plus confortable que celles que j’avais déjà (des 4Go, un peu juste quand les photos peuvent atteindre 6 Mo chacune à résolution maximale).

Vivement qu’il fasse beau, il me tarde de photographier les étoiles et la Lune comme jamais je n’ai pu le faire jusqu’à présent. En attendant, voici quelques premiers essais sur nos chats, sans aucune retouche. Dans les gros plans, on peut en voir chaque poil, tellement l’image est précise. Et l’ultra-zoom permet de capturer des scènes de loin sans déranger (voir la première photo).

Très belle journée à vous