Chez mon libraire, ce n'est pas plus cher

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Photo Sylvie Goussopoulos

Chez mon libraire, ce n’est pas plus cher
Il est indépendant, son conseil est différent…

… c’est le thème d’une très belle exposition itinérante organisée par Languedoc-Roussillon livre et lecture qui débute demain, samedi 5 novembre, pour une durée d’un an.

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30 portraits photographiques (de l’excellente photographe Sylvie Goussopoulos) de libraires de la région rencontrent 30 textes d’auteurs, choisis en région en fonction de leur diversité en termes de genre, notoriété, origine géographique, etc. Ces œuvres nous parlent de notre rapport au livre et aux passeurs que représentent les libraires.

Exposition Prix Unique du Livre

Cette exposition est diffusée dans les librairies, les bibliothèques et médiathèques, ainsi que dans des établissements scolaires et d’autres lieux culturels de la région. Des rencontres avec la photographe et les auteurs concernés sont organisées lors des vernissages de l’exposition.

Ce projet est l’occasion de fêter les 30 ans de la loi sur le prix unique du livre. En effet, depuis l’adoption de la loi Lang en 1981, le livre est au même prix dans toute la France quel que soit le point de vente : librairies, grandes surfaces, points presse ou sites Internet.

Par ailleurs, 2011 est marquée en Languedoc-Roussillon par la parution en mai, au terme de 2 années de recueil de données sur le terrain, de l’annuaire des librairies réalisé par Languedoc-Roussillon livre et lecture et par l’aboutissement en fin d’année de l’étude sur la librairie indépendante en Languedoc-Roussillon.

Languedoc-Roussillon livre et lecture soutient les libraires indépendants de la région et la loi sur le prix unique du livre qui permet à ces commerces de proximité d’offrir le meilleur de la production littéraire.

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One Reply to “Chez mon libraire, ce n'est pas plus cher”

  1. Anna Galore

    Très chouettes, ces photos de Sylvie Goussopoulos ! L’ambiance est magique, on y retrouve l’atmosphère des librairies de notre enfance, les vraies, pas celles reléguées en simple rayon de grande surface ou de gros distributeur déshumanisé, et on sent presque le parfum des livres.

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