C’est un vrai dimanche que nous avons connu hier. L’un de ceux où on se rend compte à 16h qu’on n’a toujours pas pensé à préparer le repas de midi – on a finalement mangé vers 17h – et la sensation d’être sans horaires était comme à chaque fois un délice.

Certes, le lever était tardif mais la journée pas moins pleine. J’ai commencé par récupérer Anghbor qui était parti faire la fête avec des amis le samedi soir. Quand il m’a appelé, il m’a dit d’un ton enjoué : « Comment te dire ? Je suis loin. » Après avoir obtenu quelques précisions sur où ce loin pouvait bien se trouver et avoir un peu tâtonner pour finir par croiser sa route, il a enfin pu me raconter sa soirée dont il était très content.

Anti s’est lancée dans un grand ménage qui lui a pris quatre bonnes heures. Enzo a pris un bain. J’ai passé un bon moment dehors à élaguer notre grand acacia puis à faire un tas des branches coupées.  Après notre déjeuner tardif, Anti a eu envie de faire des pancakes, avec notre soutien le plus total.

Nous nous sommes installés confortablement sur le canapé à trois (chats non compris) pour regarder le DVD de Point Break. Le soir, on a fait manger les enfants à une heure décente, école oblige. Vers 22h, Anti s’est mise au piano et a égrené les notes délicates du Clair de Lune de Debussy, suivi du Prélude de Bach.

Un vrai dimanche…

Très belle journée à vous