Je ne sais pas trop où est passé le temps hier. J’ai eu l’impression de ne presque rien faire et soudain, c’était le soir. Anti est rentrée de son colloque et s’est lancée dans un grand ménage. Quant à moi, j’ai carrément piqué du nez autour de 20h avec Abigaëlle nichée dans ma main. On a lancé la cuisine. Pour un samedi soir, c’était curieux : nous n’étions que cinq au lieu des huit ou neuf habituels.

Après manger, nous avons parlé tranquillement de nos journées sur le canapé. Anti aura beaucoup à vous raconter. Et moi, alors, qu’avais-je fait ?

Une bonne partie de ma matinée et le début de l’après-midi, j’ai avancé sur la réalisation d’une double page de photos pour le prochain bulletin du CRAC Europe consacré à Alès – je vous en reparlerai plus en détails quand il sera sorti. J’ai lu quelques pages d’un livre de Francis Le Guen que m’a offert Anti. On a regardé avec Houssam et sa cousine un bout de touche pas à mon poste sur D8, toujours très drôle.

J’ai fait la liste des courses puis j’ai pris la voiture pour aller les faire. Au moment de payer chez Satoriz, impossible de retrouver ma carte de crédit. La personne à la caisse qui nous voit toutes les semaines m’a dit de prendre mes courses et de revenir payer un peu plus tard. De retour à la maison, j’ai cherché ma carte mais rien. Retour chez Sato avec mon chéquier pour payer, puis seconde partie des courses chez Inter. Et là, juste avant d’y arriver, j’ai réalisé que mon dernier achat carte avait eu lieu chez eux deux jours avant à une caisse automatique.

J’ai demandé à l’accueil s’ils avaient trouvé ma carte… et ils l’avaient. Avec toutes ces péripéties, il était déjà 17h. Anti est arrivée pas beaucoup plus tard. Et voilà.

Une chose est sûre : on a besoin de se reposer !

Très belle journée à vous