Le temps, le lien


Le temps, l’unique lien, de tous les humains…

Trilogie de « Retour vers le futur », remake de « La Machine à explorer le temps » (The Time Machine) part Simon Wells (le petit fils du même Wells), les « j’ai pas eu le temps », « j’ai pas le temps », « j’ai envie de prendre le temps » qui sont légion, bref, le temps est à l’ordre de nos jours en ce moment aussi, du coup, j’ai comme une envie de m’arrêter deux minutes, histoire de prendre le temps de lire cet article de Psychologies Magazine : Une semaine sans montre !, par Elyane Vignau.

metropolis-clock-machine.jpg Photo extraite de Metropolis, Fritz Lang.

Arrêtons de courir ! Pour les vacances, cette semaine, offrons-nous une véritable pause dans nos vies chronométrées, en refusant de tout planifier et en apprenant à profiter de l’instant présent. Comment ? En délaissant notre montre, pour quelques heures non comptabilisées ou quelques jours d’une nouvelle liberté. Le temps de nous apercevoir qu’oublier les impératifs de l’heure nous permet de renouer avec un rythme qui nous convient pourtant mieux… Le nôtre.

Notre défi cette semaine ? Oublier montres, pendules, horloges et autres réveils pendant quelques jours ! Une drôle d’expérience pour profiter de notre temps autrement. Déjà fait ? Vous vous lancez ? Racontez-nous !

Avant l’heure, c’est pas l’heure. Après l’heure, c’est plus l’heure. Pour le marché, la plage, l’expo et le feu d’artifice… Pas de répit, tic-tac, tic-tac, c’est notre montre, encore, qui rythme souvent nos vacances. Parce que l’on veut en profiter au maximum. Parce que l’on ne veut surtout pas en perdre une miette. Quitte à passer à côté de leur principal objectif : nous ressourcer… Lire la suite de l’article sur le site de Psychologies Magazine.

Apprendre à se laisser aller

Accepter la frustration

Un investissement à rentabiliser

Changer de rythme

Renouer avec nos sensations

S’ouvrir aux autres

Tous ces thèmes sont abordés dans Une semaine sans montre !, par Elyane Vignau.

Sur le sujet, retrouvez aussi l’article de Psychologies Magazine « Pourquoi nous vivons à toute vitesse ?« 

P6190015.JPG
« Le temps de lire, comme le temps d’aimer,
dilate le temps de vivre. »

Daniel Pennac

anti, avec le temps, tout commence…

4 Replies to “Le temps, le lien”

  1. evelyne

    Je vis sans montre depuis … pffff … des années et des années, peut-être 20. Mais passant pas mal de … temps devant cet écran, j’ai qd même tj l’heure, tout en bas à droite … et si je ne fais pas sonner le réveil, je me lève à 9, 10 ou 11 h (je ne travaille plus) ! Ecarts permanents et jamais corrigés jusqu’à 10 ou 15 mn entre réveil, écran, portable … au grand désespoir des maniaques de l’exactitude. C’est vrai que c’est un peu mon luxe, cette absence de contrainte horaire. Mon plus jeune fils est atteint de la même « infirmité » (dixit son père ! MDR …) mais il s’arrange pour arriver à l’heure en cours ou au boulot ! Ben oui … ya des limites quand même.

  2. Anna Galore

    Aaaaaah comme je vous comprends ! Qu’il me tarde, moi aussi, de ne plus travailler… Lorsque je suis en vacances (et parfois simplement en weekend), il arrive souvent que j’oublie ma montre sur la table de nuit pendant toute la journée et que le temps ne soit plus rythmé que par l’envie de manger, de dormir, de lire, de se balader, de ne rien faire…

    Un luxe, oui, le genre de luxe que j’aime.

  3. anti

    « Mon plus jeune fils est atteint de la même « infirmité »  »

    Moi de même. Je me souviens comme ça, de mon ancienne belle-maman qui voulait absolument me faire un cadeau. Elle pensait à une montre. Je lui ai expliqué que… ben non… je n’en portais pas. Elle, de m’expliquer que ben si, il m’en faudrait bien une un jour, patati, patata… Ben… au final, elle m’a offert un livre sur les Arts de l’Asie ;-)))

    En fait, ma dernière montre, je l’ai perdue très précisément le jour où ma mère a voulu absolument que je la prenne pour partir en week-end. Depuis, je n’en n’ai pas racheté. J’ai essayé, mais vraiment, je ne supporte pas de voir mon p’tit poignet emprisonné, le pôôôôôvre ! Et, comme Evelyne, je sais l’heure et tombe souvent juste ou avec des écarts de quelques minutes tout au plus. En revanche, je n’ai pas atteint le degré subtil d’Anna qui peut se réveiller pile à l’heure sans réveil… là… respect !

    anti

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *