Les trois perles de Domérat, 100 000 lecteurs

Quelque part dans l’après-midi du 12 juin, mon premier roman, Les trois perles de Domérat, a franchi la barre des 100 000 lecteurs. C’est par ce tout premier livre, mis en ligne en mai 2006, que le nom d’Anna Galore est apparu sur le web.

C’est également à ce livre que je dois mes premières rencontres du net, dont celle qui a changé ma vie lorsqu’une certaine Antillaise25 – que tout le monde appelle désormais Anti – a repéré ma présence sur le forum de France Télévisions où je venais de pointer le nez timidement.

Les trois perles de Domérat est, depuis le début, le plus téléchargé de tous mes livres. Il est longtemps resté en tête des chiffres mensuels, mois après mois, jusqu’à l’arrivée de J’ai treize envies, qui s’écoule à un rythme quatre à cinq fois plus rapide. Après avoir rattrapé en moins de quatre mois les huit autres romans que j’ai écrits, J’ai treize envies devrait doubler Les trois perles et prendre la tête de tous mes livres d’ici septembre prochain. Il sera probablement talonné de près par J’ai encore treize envies dont la sortie le 21 juin semble très attendue.

J’ai auto-édité Les trois perles de Domérat fin 2006, mais le tirage fait à l’époque est désormais épuisé. La préface du livre avait été écrite par Olivier Goujon, sous le pseudonyme d’Olivier Ortéga.

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4 Replies to “Les trois perles de Domérat, 100 000 lecteurs”

  1. anti Post author

    Quelle note… qui me replonge… 4 ans en arrière ! Comme le temps ne passe pas 😉 Justement, je lisais ces lignes de Jean-Gabriel :

    http://www.transvisions.org/40.html

    « En vivant consciemment ou inconsciemment tous les jours dans une représentation linéaire du temps, on va dans le sens d’une entropie croissante, et même on provoque, alors qu’il pourrait en être autrement.

    Donc la question est : Comment quitter ce train maudit, où se manifeste non seulement la sensation d’être des individus solitaires et le sentiment de décrépitude et de décadence, résultant de l’usage du temps comme valeur d’échange, qui l’a amputé de toutes ses véritables dimensions ?

    Cette question peut être résolue en recourant à une conception différente du temps, celle qui était commune dans les sociétés à la fois antérieures et extérieures aux sociétés centralisées et totalitaires des vallées fertiles de la zone tropicale. (Euphrate, Sumer, Babylone, Elba, vallée du Nil, Thèbes, Memphis, vallée de l’Indus sans oublier Ougarit et les villes de Syrie).

    C’est la conception chamanique, qu’on peut appeler aussi conception cyclique, basée sur l’observation de la nature, et qui ne peut être appréhendée que par une approche symbolique et mythique, fondée elle aussi sur un découpage du temps, qui n’est plus quantitatif mais qualitatif. »

    Cette conception symbolique et mythique qu’on retrouve tellement bien dans tes romans justement Anna.

    Bravo pour cette réussite que tu mérites amplement, toi qui mène ta barque, comme ta vie, avec justesse, toujours en avant toute !

    « J’ai auto-édité Les trois perles de Domérat fin 2006, mais le tirage fait à l’époque est désormais épuisé. »

    Va falloir remédier à cela 😉 Et tant qu’à faire, penser à éditer la troisième trilogie…

    anti, A 1000 balles l’lecteur

  2. sylvia Post author

    Ce premier livre est vraiment une belle réussite chère Anna.

    J’ai pris beaucoup de plaisir à lire les 158 pages (en A4) imprimées par Anti en 2006.

    Même si depuis tu m’as offert le livre, je les garde précieusement : elles symbolisent LE LIEN.

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