Un dernier petit jogging avant de commencer 2013

En ce samedi ensoleillé de fin décembre, l’envie a soudain pris Anti d’aller faire un jogging au bois des Espeisses. Jusque-là, tout allait bien sauf qu’elle a ajouté que, bien entendu, j’allais venir courir avec elle. Argh.

J’ai essayé quelques manœuvres dilatoires pathétiques – je lui ai dit que je n’avais plus de survèt (elle m’en a sorti un), j’avais envie de me recoucher (n’importe quoi), je préférais glander à la maison (c’était vrai mais pas très convaincant).

Quelques minutes plus tard, nous étions au bois. La seule concession qu’elle m’avait accordée, vu que cela faisait des lunes que je n’avais pas couru, était que je pouvais très bien faire le circuit en marchant avec juste quelques foulées de temps en temps.

Bon, allez, sans rire, c’était très agréable. Le temps était superbe, le bois quasiment désert, l’odeur de l’humus délicieuse, un grand plaisir. Certes, je n’ai vu Anti qu’à de brèves occasions puisque, de son côté, elle gambadait comme une gazelle. Ma vue sur elle était parfois comme ceci :

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… ou encore comme cela :

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… mais là, ce n’est pas parce que je l’ai doublée, c’est parce qu’elle revient en courant vers moi pour m’attendre. En fait, le plus souvent c’était plutôt comme ça :

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Non, ne cherchez pas, on ne la voit pas, elle est trop loin.

De retour à la maison, j’ai pris un grand bol de soupe à la tomate – rien à voir avec le jogging, c’est juste que j’adore ça – et j’ai atteint le lit juste à temps avant de m’effondrer pour une bonne sieste. Grâce à cela, plus aucune fatigue résiduelle, ce qui fait qu’après les courses traditionnelles du samedi, nous avons pu passer une excellente soirée chez des amis jusqu’à fort tard.

Comme quoi, le jogging, ça n’a pas que des inconvénients.

Très belle journée à vous

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