7 Replies to “Chats comme des images”

  1. Netsah Post author

    C’est faux-che, vrai-Che et surtout Santiago sont mille fois plus beaux o.o Bon Santiago c’est normal c’est une pâle copie du mien 😀

  2. anti Post author

    Ah ! Ah !

    Ah ? Ah ?

    Non, rien 😉

    Ils sont adorables tous ces minous… Et Anna est tombée littéralement amoureuse de Metallica. C’est trop gnon.

    anti, déjà repartie !

  3. Zaza Post author

    Ils sont heureux ces chats !

    Passion chats…
    “Les gens qui aiment les chats évitent les rapports de force. Ils répugnent à donner des ordres et craignent ceux qui élèvent la voix, qui osent faire des scandales. Ils rêvent d’un monde tranquille et doux où tous vivraient harmonieusement ensemble. Ils voudraient être ce qu’ils sont sans que personne ne leur reproche rien.

    Les gens qui aiment les chats sont habiles à fuir les conflits et se défendent fort mal quand on les agresse. Ils préfèrent se taire, quitte à paraître lâches. Ils ont tendance au repli sur soi, à la dévotion. Ils sont fidèles à des rêves d’enfant qu’ils n’osent dire à personne. Ils n’ont pas du tout peur du silence…

    Les gens qui aiment les chats ne supportent pas les entraves ni pour eux-mêmes ni pour les autres… Ils rêvent bien sûr que l’amour aille de soi, sans effort, et qu’on ne les quitte jamais. Ils ne veulent pas obtenir les choses par force et voudraient que tout soit donné…
    Les gens qui aiment les chats sont souvent frileux. Ils ont grand besoin d’être consolés. De tout. Ils font semblant d’être adultes et gardent secrètement une envie de ne pas grandir. Ils préservent jalousement leur enfance et s’y réfugient en secret derrière leurs paupières mi-closes, un chat sur les genoux…

    J’aime les chats.

    Extrait : Anny Duperey, Les chats de hasard, 1999

  4. sylvana Post author

    J’ai beaucoup aimé aussi « les chats du hasard » et beaucoup pleuré, en particulier le passage où elle cite Jean Mercure, qui lui demandait de faire très attention à ce qu’elle mangeait. Allusion aux élevages de veaux en batterie :  » Tu ne peux pas savoir, c’est terrible… ». Sa voix s’était soudainement cassée, et à ma grande surprise je vis ses yeux se remplir de larmes. De vraies larmes. Ils sont dans le noir tu comprends ? Ils ne peuvent pas bouger : on les attache les pattes écartées pour que leurs déjections ne les souillent pas. Et quand tu entres là-dedans, qu’une porte s’ouvre et qu’un rayon de lumière s’infiltre dans leur nuit, toutes les têtes de ces pauvres bêtes se tendent ensemble vers la clarté, le cou tordu, l’oeil désespérément écarquillé, suppliant, vers la porte ouverte. Vivre dans le noir, sans pouvoir bouger ni se coucher…Quelle horreur, quelle souffrance ! Te rends-tu compte ? Jamais je n’oublierai les regards de ces bêtes vers moi… » Mais nous allons le payer très cher, tu sais. Les hommes vont payer très cher les souffrances qu’ils infligent aux animaux. » Hélas depuis rien à changer ! Les chats d’Anna et Anti, les vôtres, les miens, sont des rayons de soleil après ce douloureux passage !

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